TARARE S’EMBOURBE

Coup dur pour Tarare, la fin de saison 2016 reflet le début d’année 2017. Le Sporting Club de Tarare se déplaçait à Guilherand-Grange, dimanche dernier.

Les damiers devaient gagner cent fois ce match et ils ne le gagnent pas. Aujourd’hui, ils s’enlisent dans le bas du tableau. Quand on voit leur prestation durant les 20 dernières minutes… C’est irritant! 

Dans la course au maintien, cette défaite en Ardèche n’arrange pas les Tarariens. Ils demeurent même en danger. Mais ce qui blesse avant tout, c’est l’attitude de ses joueurs.

Dés le début du match, les locaux ont rythmé la partie par leur jeu rapide, perçant et solide en campant plusieurs fois chez les tarariens qui leur concédaient 3 points de pénalité, 3-0. Les bleus et blancs ont déployé également leur jeu en mettant à la faute les locaux, 3-3 à la 20éme minute. Sur un temps fort Tararien, l’ailier rouge et jaune a intercepté une balle d’attaque et a marqué après une course de 80 mètre le 1er essai du match, 10 à 3 en première période.

Mais au retour des vestiaires, les damiers ont enchaîné erreurs de mains sur erreurs pour subir les Aderchois, sans vraiment réagir. En face, une équipe qui s’est révolté, agressive et qui a mis des coups. Combattants, agressifs n’est plus suffisant pour les rhodaniens en prenant des essais sur des fautes directes tararienne en ne protégeant pas son petit côté sur une mêlée adverse et un renvoie au 22 mètre mal exploité qui a offert le point de bonus au dernier de la poule, score final 20 à 3.

La réserve, quand à elle, a su prendre le match en main en prenant de l’avance au score mais n’a pas su la garder en s’inclinant 15 à 12.

Les moins de 14 ont joué samedi malgré le froid deux oppositions contre l’ASVEL 1 et Pont-de-Veyle 1 . Des équipes supérieurs à aux jeunes tarariens qui se sont battus avec leurs armes et avec beaucoup de solidarité. Ils ont très bien défendu et ont obligé leurs adversaires à des exploits collectifs pour encaissés des essais. L’état d’esprit est vraiment à noter car ils n’ont jamais rien lâchés.

Alissa PIANALDI.